Cc,
à l'occasion du centenaire de la bataille de Riga, une table de "Marmitages" était organisée ce samedi au club des Marches de Bretagne, avec brother Anatoli aux commandes des forces bolchéviques Lettones, et Bruno "Triskell" et votre serviteur dans le camp allemand.
Le scénario présentait une situation de "rencontre", inhabituelle pour Marmitages, avec un budget équivalent pour les deux camps et un placement aléatoire des avant-gardes antagonistes.
Le contexte : le contrôle de la ville de Riga, prélude à la guerre d'indépendance des pays Baltes.
Les forces "allemandes" étaient composées d'un mélange de vétérans de la "Eiserne Division", de corps-francs lettons germanophones et de volontaires russes blancs sous la houlette du compte de descendance germanique Bermondt-Avalov.
Côté "rouge", les force bolchéviques étaient majoritairement composées de deux divisions de l'Armée Soviétique Lettone, de marins du corps de la Baltique, et d'éléments de la Tchéka chargés de renforcer un apport peu sûr de contingents disciplinaires.
Dans un premiers temps, les "rouges" s'emparent sans coup férir des quartiers de Riga situés sur la rive sud de la Daugava, et à l'issue d'un bombardement effroyable, l'entièreté de la ville tombe aux mains des éléments de pointe soviétiques. Hourra !..
A l'Est de la cité, la "Konmarnya" s'élance avec confiance pour s'emparer d'un pont d'importance stratégique afin de sécuriser le flanc gauche des forces soviétiques Lettones, mais un puissant dispositif d'artillerie adverse va disperser les fiers "prolétaires à cheval"...
L'état-major soviétique reste confiant malgré cet imprévu :
Les lacs et les marais au nord de Riga vont fortement retarder la progression des renforts "rouges" :
Déjà la pression des contre-attaques allemandes se fait sentir dans les faubourgs de la rive sud..
A l'est, un autre pont défendu par les freikorps de la "Deutsche Legion" va faire l'objet de combats acharnés : pas moins de quatre assauts successifs des rouges vont venir s'y briser sans souci des pertes :
Vue d'ensemble des combats :
Progression des vétérans de la "division de fer " :
(à suivre )
à l'occasion du centenaire de la bataille de Riga, une table de "Marmitages" était organisée ce samedi au club des Marches de Bretagne, avec brother Anatoli aux commandes des forces bolchéviques Lettones, et Bruno "Triskell" et votre serviteur dans le camp allemand.
Le scénario présentait une situation de "rencontre", inhabituelle pour Marmitages, avec un budget équivalent pour les deux camps et un placement aléatoire des avant-gardes antagonistes.
Le contexte : le contrôle de la ville de Riga, prélude à la guerre d'indépendance des pays Baltes.
Les forces "allemandes" étaient composées d'un mélange de vétérans de la "Eiserne Division", de corps-francs lettons germanophones et de volontaires russes blancs sous la houlette du compte de descendance germanique Bermondt-Avalov.
Côté "rouge", les force bolchéviques étaient majoritairement composées de deux divisions de l'Armée Soviétique Lettone, de marins du corps de la Baltique, et d'éléments de la Tchéka chargés de renforcer un apport peu sûr de contingents disciplinaires.
Dans un premiers temps, les "rouges" s'emparent sans coup férir des quartiers de Riga situés sur la rive sud de la Daugava, et à l'issue d'un bombardement effroyable, l'entièreté de la ville tombe aux mains des éléments de pointe soviétiques. Hourra !..
A l'Est de la cité, la "Konmarnya" s'élance avec confiance pour s'emparer d'un pont d'importance stratégique afin de sécuriser le flanc gauche des forces soviétiques Lettones, mais un puissant dispositif d'artillerie adverse va disperser les fiers "prolétaires à cheval"...
L'état-major soviétique reste confiant malgré cet imprévu :
Les lacs et les marais au nord de Riga vont fortement retarder la progression des renforts "rouges" :
Déjà la pression des contre-attaques allemandes se fait sentir dans les faubourgs de la rive sud..
A l'est, un autre pont défendu par les freikorps de la "Deutsche Legion" va faire l'objet de combats acharnés : pas moins de quatre assauts successifs des rouges vont venir s'y briser sans souci des pertes :
Vue d'ensemble des combats :
Progression des vétérans de la "division de fer " :
(à suivre )