B1bismai40 a écrit:
Les portées de tir (entendu portée efficace) pour armes à balles me paraissent sous évaluées. Personnellement je doublerai ces portées.
Hello,
c'est un parti-pris de jouabilité. C'est le potentiel effectif minimal de l'équipement et des capacités humaines qui est pris en compte, afin d'inciter le joueur au mouvement plus qu'à l'attentisme. Je sais bien que la portée des armes est sous évaluée, mais je ne vois pas de toute manière la nécessité de mettre, par exemple, la portée les mitrailleuses à 2,40m alors que le jeu est prévu, si tu l'as lu assidument, pour jouer des scénarios sur une table de 120cm !... Mais rien ne t'empêche d'augmenter les portées de tir si cela te chiffonne lorsque tu testeras les mécanismes pour de bon, ce que je ne doute pas que tu vas faire afin de juger "de facto", n'est-ce pas ?...
B1bismai40 a écrit:
Pour ce qui est des mortiers idem : le minimum est subjectif car le tir shaddock est possible si le tube est quasi vertical et l obus reste actif même après plusieurs kilomètres de distance parcourue au contraire des balles qui deviennent inertes.
Idem ; la notion de "portée minimale" est un artifice de jeu destiné à inciter le joueur à utiliser les mortiers dans leur fonction de tir de soutien à trajectoire courbe. Pour le coup, je pense avoir au contraire été trop généreux quand à la catégorie "mortiers légers" qui correspond en fait aux lance-grenades de type VB et aux "knee-mortars" japonais dont la portée médiocre n'excédait pas 200m.
Concernant l'efficacité moindre à longue portée, cela ne représente pas une efficacité moindre du projectile, mais un défaut de précision du à la distance ; si tu a lu assidument la règle, tu n'as pas du manquer de constater que la létalité des obus de mortier reste redoutable quelle que soit la portée, puisqu'elle annule les bénéfices d'un éventuel retranchement ou celui lié à l'immobilité de la cible (paragraphe 7).
B1bismai40 a écrit:
Ensuite j'ai une question :
C'est dommage qu'il n'y ait pas le localisation de la cible préalable au tir. Pourquoi ?
Toujours par parti-pris de jouabilité et de simplicité ; la localisation étant déjà restreinte par la distance, j'ai privilégié la fluidité de jeu en ne retenant pas cette étape dans la procédure des tirs. La notion de localisation en tant que telle intervient donc seulement dans deux cas de figure : en cas d'embuscade mise en place dès le début du jeu, ou lorsque la capacité d'une troupe "furtive" lui permet d'optimiser le terrain pour se dissimuler.